Philippe Andrieu : Le site

Cher Jean-Louis, tu es parti, cet après midi, 14 décembre 2004. Ton départ nous a un peu surpris mais on comprend. Es-tu bien arrivé ? Ils ont dû te jouer un truc en arrivant, ça joue comment là-bas ? On te rejoindra un par un dès que possible (à moins que Paco ne fasse ça d'un coup avec le bus). On ne sait pas encore quand, ni combien on sera à manger mais on s'inquiète pas puisque tu t'en occupes... En attendant, on va continuer à bricoler, en prenant bien soin de te garder une place, si des fois l'envie te prenait de changer d'avis. On n'y croit pas trop. Fais pas trop le con avec les autres. Tu nous manques. On t'embrasse bien fort, à bientôt. Tes amis tristounets.

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